de Hall Bartlett, 1957, ** Dans un DC‑4 canadien, le poisson est avarié. Bien sûr, les deux pilotes en mangent, laissant les commandes à un passager qui n’a piloté
de William Wellman, 1954, **** Dans les années 70, on voit fleurir aux États-Unis une série de films-catastrophe, généralement basés sur le même modèle : un fleuron de la technologie
bousasse hilarante de Roland Emmerich, 2016 Pour les amateurs d’expositions photographiques, j’ai une bonne nouvelle : il y a plus de clichés dans dix minutes de ce film que
bousasse liquide de Babak Najafi, 2016 Le premier essai, quoique très bien ajusté, avait raté sa cible : il n’avait pas réussi à vraiment m’énerver. La faute à Antoine
de Craig Gillepsie, 2015, ** En 1952, dans une tempête, deux pétroliers du même modèle se brisent à peu près simultanément. Les garde-côtes se concentrent sur le Fort Mercer,
suite de rebondissements improbables de Jonathan « J » Blakeson, 2015 « Je me demande ce que l’ancienne Cassie penserait de moi. » C’est la nouvelle Cassie qui se demande ça. Faut
de Ron Howard, 2015, *** Il y a deux ans, Ron Howard réussissait un tour de force : réunir dans la même salle de cinéma fans de blockbusters lambda, authentiques
gros nanar qui tache de Brad Peyton, 2015 Laissez-moi vous parler de la première scène : une voiture coincée au milieu d’une fissure. La fissure est trop étroite pour
de Jerry Jameson, 1977, *** Le film-catastrophe classique repose généralement sur une unité d’action. On suit quelques personnages centraux, dont on observe les actions à partir des prémices d’une