rien-à-sauver de Matt Reeves, 2017 Cette fois-ci, il aura donc suffi de trois films. Oui oui, je parle bien de l’anéantissement de la franchise La planète des singes. Dans
branlette du mercredi soir de Ridley Scott, 2017 Dans mon cercle de cinéphiles, j’étais à peu près le seul à avoir apprécié Prometheus, malgré quelques incohérences flagrantes (genre
recueil de clips de Justin Kurzel, 2016 Eh ben putain quelle merde. C’est tout ce que j’avais à dire à la sortie de cette bouse. Et puis, rentré chez
navet de Conrad Vernon et Greg Tiernan, 2016 Lorsque j’ai vu la bande-annonce, j’ai eu la profonde impression que c’était nul. Or, les trucs qui ont l’air nuls
purge de Timur Bekmambetov, 2016 Dès les premières scènes, me voilà tout frétillant dans mon fauteuil. Oh mon Dieu que c’est bon ! Il faut dire que, pour un type
grand n’importe quoi de Kim Bass, 2010 Imaginez un film qui serait la fusion de Aigle de fer et de Fast and furious. Vous voyez le tableau ? Des avions
clip épileptique de Paul Greengrass, 2016 Tristesse. Tel est le sentiment qui domine, à l’heure de vous adresser ce faire-part : Paul Greengrass est décédé. Je n’ai pas la
bousasse hilarante de Roland Emmerich, 2016 Pour les amateurs d’expositions photographiques, j’ai une bonne nouvelle : il y a plus de clichés dans dix minutes de ce film que
gros n’importe quoi de Joshua Safran, depuis 2015 J’ai un problème : j’ai un mal fou à arrêter un truc en plein milieu, même quand il est évident qu’il
agacement de Christophe Honoré, 2015 Étrange film, qui passe trois quarts d’heure à essayer de vous faire pleurer sur le sort d’un personnage qu’il s’est appliqué à vous