Catégorie : troll

mas­tur­ba­tion publique de Christopher Nolan, 2020 Il y a un flingue. Il y a un trou. Pourtant, la balle n’a pas encore été tirée. Lorsqu’elle le sera, le

gros navet qui tache de Ric Roman Waugh, 2020 Ça vous est arri­vé aus­si, non ? Il fait 37 °C, vous cher­chez un endroit cli­ma­ti­sé, et puis il y a une

dau­basse de Frank Miller et Tom Wheeler, 2020 En géné­ral, je regarde au moins une sai­son pour me faire une idée d’une série. Parfois, je tiens pas jusque

de plein de gens, 2019, O à **** La vie, c’est comme une boîte de cho­co­lats : on sait jamais sur quoi on va tomber. Ben Love Death Robots, c’est comme

publi­re­por­tage absurde de Ben Young Mason, Justin Wilkes et Ron Howard, 2016 Oui, je sais, y’a comme du relâ­che­ment sur ce blog. Figurez-vous que mon édi­teur habi­tuel m’a

prêche de Greg Berlanti et Ali Adler, depuis 2015 Il y a des gens qui m’ont accu­sé de regar­der n’importe quoi, pour­vu qu’il y ait une blonde au

film sans boules de Jon Favreau, 2019 Le lion. Symbole de puis­sance, de viri­li­té, tout ça. Le lion, qui pisse par­tout pour mar­quer son ter­ri­toire, et dont on

crise d’hé­mo­phi­lie d’Adrian Grunberg, 2019 Alors voi­là. Johnny boy est au Mexique. Il vient de récu­pé­rer une ado­les­cente, for­cée depuis deux jours à se pros­ti­tuer par un car­tel.

pon­cifs auto­sa­tis­faits de Michael Dougherty, 2019 Il y a quelques années, dans un bar, j’ai croi­sé (par le biais d’un cama­rade de bureau) une paire d’États-Uniennes ori­gi­naires, si

méta-paro­die de Mel Brooks James Wan, 2018 La vie est par­fois pleine de grands drames. Par exemple, vous pou­vez être baron, riche patron d’un empire indus­triel, proche du pré­sident