Étiquette : animation

de Makoto Shinkai, 2022, **** Depuis qu’il a pon­du 君の名は, Shinkai lit tous les matins dans la presse des trucs du style « ne ratez pas le der­nier long-métrage du

de Patrick Imbert, 2021, **** Quand on aime les films d’al­pi­nisme, on n’a pas énor­mé­ment de choses à se mettre sous la dent. Les cinéastes racontent rare­ment des his­toires

de Hideaki Anno et Shinji Higuchi, 1990, **** Il y a des fois, en lisant un bou­quin sur quel­qu’un dont on pen­sait plu­tôt bien connaître le par­cours, on découvre

d’Aaron Ehasz et Justin Richmond, depuis 2018, ** C’est la quête d’un très jeune prince, de son frère et d’une elfe assas­sine pour rame­ner un œuf de dra­gon dans

de Makoto Shinkai, 2019, **** Tu peux pas t’cas­ser, il pleut. Hodaka est pas super rai­son­nable : quand il quitte son île pour entrer au lycée à Tokyo, il le fait

de Xavier Giacometti et Toby Genkel, 2019, *** Je sais pas vous, mais moi, quand j’é­tais minot, je vivais dans la cam­brousse. Je démé­na­geais deux fois par an entre

de Takashi Yamazaki, 2019, ** Dans les films d’a­ni­ma­tion japo­nais, il y a des chefs-d’œuvre inou­bliables, sub­tils, poé­tiques, pleins de gags et de rebon­dis­se­ments qui cap­tivent les enfants, ain­si

de Katsuhiro Ōtomo, 1988, ** Kaori n’a pas de bol. Bon, bien sûr, comme toutes les lycéennes, on pour­ra dire qu’elle aurait dû se méfier des bōsō­zo­kus eu lieu de

de plein de gens, 2019, O à **** La vie, c’est comme une boîte de cho­co­lats : on sait jamais sur quoi on va tomber. Ben Love Death Robots, c’est comme

deli­rium tre­mens cool éner­vé punk mora­li­sa­teur de Raphael Bob-Waksberg, 2014–2020 Il y a des fois, dans la vie, il faut recon­naître les limites de son talent. Je ne