de Céline Sciamma, 2011, *** Alors, je connaissais le film anglophone dont on garde le titre par fainéantise. Je connaissais le film japonais auquel on donne un titre anglais
de Duncan Jones, 2011, **** Huit minutes. C’est le temps dont dispose Colter, projeté dans la peau d’un autre, pour découvrir qui a posé une bombe dans son train.
de George Nolfi, 2011, *** La recette est simple : un peu d’action, un peu de romance, un peu de mystère, un peu d’espionnage, un peu de pseudo-métaphysique. Prenez un
de George Stevens, 1956, **** Il fut un temps où le cinéma était friand de grandes épopées contant la grandeur des États-Unis. La conquête de l’Ouest en est un
de Roland Emmerich, 1994, *** Un égyptologue croisé boulet, Daniel, est envoyé à travers un trou de ver sur une exo-planète, avec une équipe de gros bras bas de
de David Russell, 2010, **** En première approche, un film de boxe. Au deuxième niveau, un film sur la fidélité fraternelle, l’amour envahissant des groupes familiaux, l’opposition entre belle-mère,
de Debra Granik, 2010, **** Pas facile à décrire, cette histoire de gamine au caractère bien trempé qui s’occupe de sa mère, son frère et sa sœur et recherche
de Julien Leclercq, 2010, *** Bon, l’histoire, on la connaît à peu près tous. En tout cas, c’est un des souvenirs marquants de ma jeunesse, bien plus que l’attentat
de Greg Mottola, 2010, *** Deux gros nerds anglais, voyageant sur les traces de la SF de Las Vegas à Roswell, tombent sur un extra-terrestre qui rote, parle un
de Joel et Ethan Coen, 2010, **** Enfin !!! Après deux opus ratés (Burn after reading, truc mollasson vaguement chiant, et A serious man, sombre merde qui tourne à vide), j’ai