néant tape-à-l’œil de Harmony Korine, 2012 On rate toujours un détail. Par exemple, Harmony Korine, inconnu au bataillon à première vue, était en fait le scénariste de l’épouvantable
de Walter Hill, 2012, *** Si ça représente l’évolution de la philosophie occidentale, on est mal barrés. En revanche, si ça représente un polar bien bourrin et pas trop lourd
de John Moore, 2013, *** John McLane. Flic blasé et misanthrope, mais consciencieux et efficace, doué pour se retrouver par hasard au milieu d’opérations terroristes alors qu’il vient juste
de Robert Zemeckis, 2012, *** Peut-on être un héros véritable et, en même temps, un ivrogne invétéré ? Y compris dans un métier où les psychotropes sont très, très mal vus ?
de Sacha Gervasi, 2012, **** Le « biopic », c’est toujours un peu dangereux. La tentation est grande, pour les auteurs, de basculer dans l’hagiographie ou dans le ridicule, selon leur
de Martin McDonagh, 2012, ** Le film qui se raconte lui-même, c’est souvent un quitte ou double : soit on y arrive, soit on se plante lamentablement. 7 psychopathes, c’est
de Kim Jee-woon, 2013, **** Des fédéraux dépassés qui laissent échapper un dangereux dingue, une organisation criminelle aux moyens illimités, et un shérif qui refuse de bouger. Voilà les
de Sergio Corbucci, 1967, *** Tout le monde connaît Sergio Leone. S’il a éclipsé toute une génération de réalisateurs italiens, c’est oublier que d’autres que lui ont participé à
de James Mangold, 2007, **** En schématisant, il y a trois westerns. Le classique, américain, avec un ou des héros forts et des méchants bien identifiés. Le spaghetti, italien,