de Sacha Gervasi, 2012, **** Le « biopic », c’est toujours un peu dangereux. La tentation est grande, pour les auteurs, de basculer dans l’hagiographie ou dans le ridicule, selon leur
de Martin McDonagh, 2012, ** Le film qui se raconte lui-même, c’est souvent un quitte ou double : soit on y arrive, soit on se plante lamentablement. 7 psychopathes, c’est
de Kim Jee-woon, 2013, **** Des fédéraux dépassés qui laissent échapper un dangereux dingue, une organisation criminelle aux moyens illimités, et un shérif qui refuse de bouger. Voilà les
de Sergio Corbucci, 1967, *** Tout le monde connaît Sergio Leone. S’il a éclipsé toute une génération de réalisateurs italiens, c’est oublier que d’autres que lui ont participé à
de James Mangold, 2007, **** En schématisant, il y a trois westerns. Le classique, américain, avec un ou des héros forts et des méchants bien identifiés. Le spaghetti, italien,
de Kathryn Bigelow, 2012, *** Trois ans après l’acclamé Démineurs, Kathryn Bigelow revient avec un film particulièrement ambitieux : suivre la remontée de la CIA dans l’organigramme d’Al-Qaida, jusqu’à localiser
de Laurent Cantet, 2012, ** Quelques beaux moments, de bonnes actrices, quelques plans sympas, mais… Mais un film finalement plein d’idées reçues et surtout, surtout !, un vrai manque de rythme
de Quentin Tarantino, 2012, **** Alors qu’il fout du spaghetti dans ses polars, dans ses films de kung-fu et dans ses films de guerre, il aura donc fallu approcher
navet de Ben Wheatley, 2012 Sur le papier, un délire dans la lignée de God bless America. Dans la pratique, un morne somnifère britannique sur un duo de
bijou ultra-sensible de Stephen Chbosky, 2012 Quand on est en seconde et qu’on sait lire, on est déjà un peu étrange. Si en plus on est réservé, honnête,