de J.C. Chandor, 2011, **** Un beau soir, dans une grande entreprise financière, un analyste tire l’alarme : les positions des courtiers sont très risquées, au delà des limites historiques,
de Romain Levy, 2012, **** Une comédie chorale française, avec des acteurs comiques et un humoriste, qui parle des émissions humoristiques matinales à la radio : disons-le tout net, ça n’est
de James Cameron, 1997, **** Non, j’avais toujours pas vu Titanic. Pas à sa sortie, pas à sa diffusion télévisée, pas non plus à sa rediffusion télévisée… Mais à
de Francis Coppola, 2011, **** Un obscur écrivain dépressif et désabusé, au bord de la faillite financière et littéraire, dédicace son ouvrage dans un bled paumé. Pas de chance,
de Frédéric Videau, 2011, **** Il y a des jours comme ça, où vous devez aller voir le gros blockbuster qui ressort (vous savez, celui avec Céline qui hurle
de Steven Moffat et Mark Gatiss d’après Arthur Doyle, depuis 2010, **** Sherlock. Égocentrique, vaniteux, pédant, méprisant, hautain, Sherlock est un connard arrogant que personne ne peut saquer. Surtout
de Gary Ross, 2012, **** Il ne doit en rester qu’un. 24 adolescents sont lâchés dans une arène, où les attendent un peu de nourriture et un stock d’armes blanches
de Joe Carnahan, 2012, ****+ L’histoire ? Simple : sept survivants d’un crash d’avion, paumés au milieu de l’Alaska, à mille milles de toute terre habitée en somme, ont le manque
de Asger Leth, 2011, **** Inutile d’essayer de réinventer le polar : tout a déjà été fait. Alors, autant faire de bons polars, quitte à ce qu’ils soient classiques. C’est ce