de Sacha Gervasi, 2012, **** Le « biopic », c’est toujours un peu dangereux. La tentation est grande, pour les auteurs, de basculer dans l’hagiographie ou dans le ridicule, selon leur
de Kim Jee-woon, 2013, **** Des fédéraux dépassés qui laissent échapper un dangereux dingue, une organisation criminelle aux moyens illimités, et un shérif qui refuse de bouger. Voilà les
de James Mangold, 2007, **** En schématisant, il y a trois westerns. Le classique, américain, avec un ou des héros forts et des méchants bien identifiés. Le spaghetti, italien,
de Quentin Tarantino, 2012, **** Alors qu’il fout du spaghetti dans ses polars, dans ses films de kung-fu et dans ses films de guerre, il aura donc fallu approcher
de Christopher McQuarrie, 2012, **** Il y a les militaires par tradition familiale. Il y a les patriotes. Il y a les pauvres qui n’ont rien trouvé d’autre. Et
de Mike Kelley, depuis 2011, **** Si votre voisine est mondaine, riche, charmante, polie et séduit votre fils, méfiez-vous : elle a peut-être un rapport avec cette vieille histoire, vous
de Ben Affleck, 2012, **** Monter un faux film pour pouvoir entrer en Iran et en exfiltrer six diplomates américains, dans les semaines suivant la chute du Shah : l’idée
de David Ayer, 2012, **** Un polar d’action qui joue la carte de l’immersion, avec un maximum de plans intégrés au scénario — caméras de surveillance, caméras-cravate des héros, … Très bien
de Rich Moore, 2012, **** Et si les personnages de jeux d’arcade étaient des êtres conscients, des acteurs jouant la pièce que les joueurs leur écrivent ? C’est un peu