de Gary Ross, 2012, **** Il ne doit en rester qu’un. 24 adolescents sont lâchés dans une arène, où les attendent un peu de nourriture et un stock d’armes blanches
de Benoît Jacquot, 2011, *** Sidonie aime Marie-Antoinette, reine de France. Inconditionnellement, fanatiquement. Marie-Antoinette, elle, ne voit en Sidonie que sa lectrice attitrée ; elle aime viscéralement Madame de Polignac,
de Michel Hazanavicius, 2011, *** Que dire ? The artist a des qualités indéniables. Premièrement, l’originalité : il y avait quatre-vingts ans qu’on n’avait pas essayé de raconter une histoire comme
de Sean Durkin, 2011, *** Peut-on réellement réintégrer la vie humaine quand, pendant deux ans, on a vécu cloîtré sous l’emprise du dirigeant d’une communauté autonome ? C’est tout le
de Joe Carnahan, 2012, ****+ L’histoire ? Simple : sept survivants d’un crash d’avion, paumés au milieu de l’Alaska, à mille milles de toute terre habitée en somme, ont le manque
de Asger Leth, 2011, **** Inutile d’essayer de réinventer le polar : tout a déjà été fait. Alors, autant faire de bons polars, quitte à ce qu’ils soient classiques. C’est ce
d’Andrew Stanton, 2012, ** Avant de travailler aux Urgences, John Carter était un des premiers personnages de ce qu’on n’appelait pas encore space opera. Ce « cycle de Mars » de
tas de boue de William Bell, 2012 Vous connaissez le concept de film d’épouvante ? L’idée, c’est de jouer sur les peurs instinctives pour provoquer une tension chez le spectateur.
de Josh Trank, 2012, **** Que feriez-vous si vous aviez brusquement des super pouvoirs ? Le thème a été rebattu, traité dans tous les sens, du BCBG sauce Spider-man aux
somnifère de Tomas Alfredson, 2011 Bien joué, mais mou, inintéressant et sans surprise. La longueur de cette critique est inversement proportionnel à celle du film.