onanisme cérébral de Jonathan Glazer, 2013 C’est bien beau de vouloir filmer en conditions réelles, laisser planer le mystère, soigner l’esthétique, tout ça, mais quand on a rien
de Dean DeBlois, 2014, ** Dragons n’avait pas un fond très original, mais il était rempli de petits détails touchants ou loufoques et il profitait d’une réalisation sans faille
de Doug Liman, 2014, *** Pour faire Edge of tomorrow, la recette est simple : prenez le concept de Source code, transposez-le dans un univers à la Étoiles, garde-à-vous ! et
de Mizuho Nishikubo, 2013, ** Esthétiquement, difficile de trouver quelque chose à reprocher à L’île de Giovanni : l’animation est soignée et les graphismes sont splendides, dignes des meilleures références.
de Bryan Singer, ****, 2014 Après trois épisodes assez basiques, la série X‑men est revenue aux sources en s’inscrivant dans l’Histoire. Wolverine nous racontait les guerres modernes, de celle
de Gareth Edwards, 2014, ** Vous vous souvenez de Alien vs Predator ? Ben rebelote. Revoilà le film qui oppose deux trucs monstrueux que l’homme il est tout petit insignifiant
bourrinnage bas de plafond de Marc Webb, 2014 Il y a un excellent moment dans ce film : celui où, dans un camp que l’on devine être au Vietnam, apparaît
de Rachid Bouchareb, 2014, **** Il y a 18 ans, Garnett a buté l’adjoint d’un shérif néo-mexicain. Aujourd’hui, il sort de tôle, avec une religion, un GED (l’équivalent d’un
de Michel Gondry, 2013, ** Alors voilà : avec un film, il y a une sélection, un montage, et le résultat est plus la parole du réalisateur que celui des