de Makoto Shinkai, 2022, **** Depuis qu’il a pondu 君の名は, Shinkai lit tous les matins dans la presse des trucs du style « ne ratez pas le dernier long-métrage du
de David Leitch, 2022, **** Le Tōkaidō Shinkasen est connu dans le monde entier. Reliant Tōkyō, Nagoya, Kyōto et Ōsaka, ce fut la première ligne de train à haute
de Hideaki Anno et Shinji Higuchi, 1990, **** Il y a des fois, en lisant un bouquin sur quelqu’un dont on pensait plutôt bien connaître le parcours, on découvre
de Makoto Shinkai, 2019, **** Tu peux pas t’casser, il pleut. Hodaka est pas super raisonnable : quand il quitte son île pour entrer au lycée à Tokyo, il le fait
de Takashi Yamazaki, 2019, ** Dans les films d’animation japonais, il y a des chefs-d’œuvre inoubliables, subtils, poétiques, pleins de gags et de rebondissements qui captivent les enfants, ainsi
de Katsuhiro Ōtomo, 1988, ** Kaori n’a pas de bol. Bon, bien sûr, comme toutes les lycéennes, on pourra dire qu’elle aurait dû se méfier des bōsōzokus eu lieu de
de Tetsurō Araki, Takeshi Obata et Tsugumi Ōba, 2006–2007, * Pour tuer quelqu’un, les dieux de la mort notent son nom dans un carnet. De temps en temps,
de Yoshio Takeuchi et Kenji Kodama d’après Tsukasa Hōjō, 1983–1986, *** Les madeleines ne se dévorent pas toujours dans l’ordre. Alors que j’ai revu tous les Nicky Larson
de Noriko Ozaki et Seiji Kishi d’après Yūsei Matsui, 2015–2016, **** Nous sommes une classe d’assassins. Notre cible : le professeur. Les élèves de 3e E du collège de
de Roland Emmerich, 2019, * Le saviez-vous ? Les avions américains, en 42, c’était de la merde. Enfin, ceux de la marine, je veux dire. Les Mitchell de la force