The machine

gros raté de Caradog James, 2013

Sur le papier, c’est un film de SF moderne, abor­dant l’é­thique dans l’in­dus­trie hos­pi­ta­lière qui traite les sol­dats bles­sés et la ques­tion de la conscience des intel­li­gences par­tiel­le­ment ou tota­le­ment artificielles.

La nais­sance de Machine, avec une com­bi­nai­son mou­lante qu’on dirait faite dans son salon par un fan de cos­play pas doué. — pho­to Red&Black Films

Las, le script ne décolle jamais, enfi­lant les idées reçues avec obs­ti­na­tion. Même la nais­sance de Machine, cal­quée sur le cer­veau et le phy­sique d’une cher­cheuse morte, n’ap­porte fina­le­ment rien, cette idée n’é­tant a prio­ri là que pour réuti­li­ser l’actrice.

À l’heure du bilan, ça se résume en un mot : niais.