Who’s that knocking at my door

de Martin Scorsese, 1967, O

Heureusement pour Martin, j’é­tais pas pro­duc­teur hol­ly­woo­dien dans les années 70. Jamais j’au­rais don­né un kopeck à un type qui avait pon­du une daube pareille : zéro rythme, zéro construc­tion, même le mon­tage (pour­tant spé­cia­li­té de Marty, qui fut chef mon­teur sur l’é­pa­tant Woodstock de Michael Wadleigh deux ans plus tard) laisse froid une fois pas­sé le géné­rique. L’his­toire du film explique bien des choses, mais le res­sor­tir qua­rante ans plus tard est une insulte à ce que Scorsese a pon­du depuis.