La danse du serpent

de Sofía Quirós Úbeda, 2019, *

Alors, voi­là le synop­sis don­né par la pro­duc­tion :

Selva (13 ans) découvre qu’en mou­rant nous ne fai­sons que chan­ger de peau. Nous pou­vons deve­nir des louves, des chèvres, des ombres, tout ce que l’imagination nous per­met d’être.

Disons que c’est un peu enjolivé.

Humberto Samuels et Smashleen Gutiérrez dans La danse du serpent
Ça, c’est une scène d’ac­tion effré­née. — pho­to Sputnik Films

En fait, c’est juste l’his­toire d’un grand-père mori­bond et d’une gamine qui passe le film à attendre qu’il crève.

Et du coup, nous aussi.