A.I. intelligence artificielle

de Steven Spielberg, 2001, O

Le robot qui rêvait, Astro le petit robot, Pinocchio, Le petit Poucet, Blade run­ner, Matrix et même Au delà du dôme du ton­nerre et Tron : ça bouffe vrai­ment à tous les râte­liers… Mais au final, on a plu­tôt le fils natu­rel d’un épi­sode des Bisounours et d’un concert de Rammstein.

Et je ne m’a­bais­se­rai même pas à com­men­ter l’in­son­dable niai­se­rie de la der­nière demi-heure, dont le ridi­cule ache­vé et la poé­sie de comp­toir vien­dront assom­mer à coup sûr celui qui aura sur­vé­cu aux deux inter­mi­nables pre­mières heures…

Finalement, après Eyes wide shut, on ne peut pas dire que les der­niers pro­jets de Kubrick aient été des chefs-d’œuvre. Mais ça a don­né l’oc­ca­sion à Spielberg de faire le bon gros nanard qui man­quait à sa carrière.