de Paolo Sorrentino, 2011, **** Il y a parfois des films qu’on ne sait comment raconter. Trop compliqués, trop incohérents, trop instables, trop changeants… C’est le cas ici. Alors, on
de Lars von Trier, 2011, * Y’a pas d’âge pour apprendre. Par exemple, hier encore, je considérais Kirsten Dunst comme une actrice correcte, capable de passer inaperçue dans des
de Jon Favreau, 2011, **** La bande-annonce est claire : bordel, c’est quoi ce truc ? Des gusses en stetson, Frontier à la ceinture et Winchester à la main, et des
de Pedro Almodóvar, 2011, ** Y’a plein de bonnes idées — le traitement qu’un scientifique qui a justement besoin d’un cobaye peut réserver à un violeur, la relation entre
de Seth Gordon, 2011, *** Qu’en dire ? C’est exactement ce qu’on peut en attendre : des numéros d’acteurs impayables (Spacey en sadique brutal, j’adore, Farrell en cynique cocaïnomane, ça passe
de Rupert Wyatt, 2011, **** La planète des singes est un cas particulier. C’est un des premiers « filons » qu’une maison de production ait exploité avec avidité jusqu’à son tarissement
de Joseph Michael Straczynski, 2002–2003, **** Que se passerait-il si, du jour au lendemain, tous les adultes disparaissaient ? C’est ce qui arrive après la « Grande mort », une maladie
de Nick Hamm, 2010, *** Encore un film sur les rockeurs ? Ben oui, encore un. Mais pas sur n’importe quels rockeurs : sur des loosers. Des vrais. Pas des mauvais, non, des
de Jeffrey Jacob Abrams, 2011, **** Merde alors : JJ Abrams s’est décidé à faire quelque chose de vraiment bien. Je sais, ça fait un choc. Après Alias, série dont j’ai
de Jean-Luc Godard, 1963, * C’est dingue, le pouvoir d’une photo. J’ai vu récemment une image qui m’a fait penser à ce film, au point que j’ai été le