de Frédéric Videau, 2011, **** Il y a des jours comme ça, où vous devez aller voir le gros blockbuster qui ressort (vous savez, celui avec Céline qui hurle
Léodagan : Je me demande si c’est pas bientôt l’anniversaire de ma fille… Lancelot : Oui, c’est demain. Léodagan : Ben comment vous savez ça, vous ? Lancelot : Euh… J’ai une bonne mémoire des dates.
de Steven Moffat et Mark Gatiss d’après Arthur Doyle, depuis 2010, **** Sherlock. Égocentrique, vaniteux, pédant, méprisant, hautain, Sherlock est un connard arrogant que personne ne peut saquer. Surtout
expérience de Evan Glodell, 2008–2011 Inracontable, inrésumable, incritiquable. Bellflower est un énorme bordel, le fils naturel d’Easy rider, de Thelma et Louise et de Max Max, une histoire
de Gary Ross, 2012, **** Il ne doit en rester qu’un. 24 adolescents sont lâchés dans une arène, où les attendent un peu de nourriture et un stock d’armes blanches
de Benoît Jacquot, 2011, *** Sidonie aime Marie-Antoinette, reine de France. Inconditionnellement, fanatiquement. Marie-Antoinette, elle, ne voit en Sidonie que sa lectrice attitrée ; elle aime viscéralement Madame de Polignac,
de Michel Hazanavicius, 2011, *** Que dire ? The artist a des qualités indéniables. Premièrement, l’originalité : il y avait quatre-vingts ans qu’on n’avait pas essayé de raconter une histoire comme
de Sean Durkin, 2011, *** Peut-on réellement réintégrer la vie humaine quand, pendant deux ans, on a vécu cloîtré sous l’emprise du dirigeant d’une communauté autonome ? C’est tout le
de Joe Carnahan, 2012, ****+ L’histoire ? Simple : sept survivants d’un crash d’avion, paumés au milieu de l’Alaska, à mille milles de toute terre habitée en somme, ont le manque