de James Mangold, 2007, **** En schématisant, il y a trois westerns. Le classique, américain, avec un ou des héros forts et des méchants bien identifiés. Le spaghetti, italien,
de Kathryn Bigelow, 2012, *** Trois ans après l’acclamé Démineurs, Kathryn Bigelow revient avec un film particulièrement ambitieux : suivre la remontée de la CIA dans l’organigramme d’Al-Qaida, jusqu’à localiser
de Laurent Cantet, 2012, ** Quelques beaux moments, de bonnes actrices, quelques plans sympas, mais… Mais un film finalement plein d’idées reçues et surtout, surtout !, un vrai manque de rythme
de Quentin Tarantino, 2012, **** Alors qu’il fout du spaghetti dans ses polars, dans ses films de kung-fu et dans ses films de guerre, il aura donc fallu approcher
navet de Ben Wheatley, 2012 Sur le papier, un délire dans la lignée de God bless America. Dans la pratique, un morne somnifère britannique sur un duo de
bijou ultra-sensible de Stephen Chbosky, 2012 Quand on est en seconde et qu’on sait lire, on est déjà un peu étrange. Si en plus on est réservé, honnête,
de Christopher McQuarrie, 2012, **** Il y a les militaires par tradition familiale. Il y a les patriotes. Il y a les pauvres qui n’ont rien trouvé d’autre. Et
de DeAnn Heline et Eileen Heisler, depuis 2009, *** Un père irrémédiablement franc, incapable de mentir et toujours stoïque sauf lorsqu’on parle sports ; une mère hystérique, nerveuse et fatiguée ;
D’abord : non, je ne parlerai pas de Roland Emmerich ici. Ensuite, notons que cette année, j’ai eu du mal à choisir le meilleur film : aucun ne m’a laissé
Vous voulez savoir ce qui est le mieux à Z‑land ? Plus de mises à jour de statuts Facebook. Vous savez, Rob Curtis s’équipe pour vendredi. Rien à foutre !