de Kenneth Branagh, 2011, * Mise en situation : vous êtes un réalisateur anglais, connu surtout pour des adaptations de pièces et de romans classiques britanniques. Pour des raisons obscures,
de Stéphane Kazandjian, 2010, **** Souvenez-vous… C’était il n’y a pas si longtemps… Il y avait un type que l’on surnommait le maître du monde, un nabot rondouillard avec
de Céline Sciamma, 2011, *** Alors, je connaissais le film anglophone dont on garde le titre par fainéantise. Je connaissais le film japonais auquel on donne un titre anglais
de Duncan Jones, 2011, **** Huit minutes. C’est le temps dont dispose Colter, projeté dans la peau d’un autre, pour découvrir qui a posé une bombe dans son train.
de Tom Kapinos, depuis 2007, **** tirant sur le joyau absolu Commençons par un truc léger pour accompagner la lecture. Je sais, elle parle pas de musique, mais
de George Nolfi, 2011, *** La recette est simple : un peu d’action, un peu de romance, un peu de mystère, un peu d’espionnage, un peu de pseudo-métaphysique. Prenez un
de George Stevens, 1956, **** Il fut un temps où le cinéma était friand de grandes épopées contant la grandeur des États-Unis. La conquête de l’Ouest en est un
Nous avons toutes ces technologies surprenantes et pourtant, les ordinateurs nous ont simplement transformés en machines à branlettes à mille balles. Internet était censé nous libérer, nous démocratiser,
de Brad Wright et Robert Cooper, 2009–2010, **** Si vous le voulez bien, on va conclure cette matinée Stargate avec la dernière série : Stargate : Universe. C’est la troisième
de Brad Wright et Jonathan Glassner, 1997–2006, ****/** Vous vous souvenez de La porte des étoiles, de Roland Emmerich ? Et bien, quelques années après, elle est réactivée de