chef-d’œuvre de Tony Kaye, 1998 Danny veut impressionner son frère, neo-nazi sortant de trois ans de taule pour le meurtre de sang-froid de deux blacks qui essayaient de chouraver
de Juan José Campanella, 2009, ** Petit polar argentin assez classique et un peu mou. Et dont tout le monde devinera le retournement final vers la quarantième minute, aussi. Sinon,
de Àlex et David Pastor, 2008, **** Dans la série « On se risque sur le bizarre ? », je demande Infectés, road-movie survivor américain de deux frangins barcelonais inconnus, qui ont
de Mike Newell, 2010, * Mes souvenirs de Prince of Persia, jeu vidéo bien connu des geeks de mon âge (nombreux dans la salle, d’ailleurs : le film pour mâles
d’Alexandre Charlot et Franck Magnier, 2009, O Si j’osais, je dirais qu’un film fait par un charlot, surtout s’il devait se magner, faut éviter. Mais j’oserai pas. Je me contenterai
d’Alan Pouol, 2009, * Vous avez vu l’affiche ? Vous savez tout. Quelques scènes bien fichues, bien trouvées et bien jouées, mais globalement, faut vraiment avoir le foie bien accroché : autant
d’Olivier Coussemacq, 2009, ** Juge blanchi sous le harnois, Henri trouve dans les dépendances de sa maison une jeune squatteuse, Céline. Orpheline, elle lui explique avoir fui sa famille
de Ridley Scott, 2010, ** Avec Sir Ridley, c’est quitte ou double. Thelma et Louise, c’est lui ; Le huitième passager, Mensonges d’État, La chute du faucon noir ou Blade
de Matthew Vaughn, 2010, **** Oui, bon, voilà : je crois bien que c’est la première fois que je retourne voir un film au cinéma sans autre raison que l’envie