de Wes Ball, 2014, * Prenez un scénario simpliste genre Hunger games chez les amnésiques ou Predators version teen-movie (et qui fait pas mal penser à Coma, la BD de Dupré).
nanar à une étoile d’Olivier Baroux, 2013 Vous le savez, les navets, c’est ma grande passion. Sans doute pour compenser le fait que j’ai jamais pu en avaler
de Sylvester Stallone, 1985, * À la base, c’est un copier-coller vaguement modifié de Rocky III : un adversaire techniquement supérieur qui lance un défi, quelques scènes comiques plus ou
de Sylvester Stallone, 1982, ** Rocky Balboa a été l’homme qui avait faim et voulait faire ses preuves. Mais après avoir montré sa résistance (Rocky) puis pris la ceinture
de Marc Fafard, 2013, * La stéréoscopie, ça demande une bonne maîtrise technique de certains paramètres. En plus du classique duo mise au point — profondeur de champ, vieux
de Denis Villeneuve, 2014, * D’abord, il faut évidemment noter que Jake Gyllenhaal est décidément un acteur franchement exceptionnel, passant d’un rôle à l’autre avec un naturel impressionnant. Ensuite,
de Mona Achache, 2013, * Bon, j’avais pas vraiment prévu de le voir, celui-là. Il se trouve que dans la partie nouvelle de l’UGC des Halles, y’a un panneau
de Cameron Porsandeh et Ronald Moore, depuis 2014, * Au nord de l’Alaska, une crise sanitaire a éclaté au sein d’une base de recherche creusée dans la calotte glaciaire.
de Kiyoshi Kurosawa, 2012, * Ça commence bien, entre science-fiction, portraits psychologiques et évocation poétique. C’est joli, original et émouvant, même si on sent assez vite le renversement du