de Mia Hansen-Løve, 2011, * C’est très amusant : il y a, aux environs de 1h20 après le début du film, une réplique qui tue. C’est Sullivan qui parle d’un
De Michael Bay, 2011, * Quand un film crétin est suivi d’une bouse sans nom, l’être humain normal se dit qu’il est temps d’abandonner. Mais je ne suis pas normal ;
de Maurice Barthélémy, 2010, * Quelque part entre Les bronzés prennent l’avion et Y a‑t-il un pilote dans le script ?, voici Low cost. Comme beaucoup de parodies, en particulier
de John Curran, 2010, * La bonne nouvelle : Edward est ordinairement excellent, Milla est ponctuellement admirable et on n’avait plus vu Robert aussi à l’aise dans un vrai rôle
de Carlos Saldanha, 2011, * (et encore…) Saldanha, c’est un type à qui j’ai tendance à faire confiance. Et pour cause : il a pondu une petite trilogie sans
de Kenneth Branagh, 2011, * Mise en situation : vous êtes un réalisateur anglais, connu surtout pour des adaptations de pièces et de romans classiques britanniques. Pour des raisons obscures,
de Danny Boyle, 2010, * Bonne nouvelle : on a trouvé l’acteur qui pourra jouer Ayrton Senna da Silva quand on fera un film sur lui. Sous certains angles, la
de Dominic Sena, 2010, * Avec Nicolas Cage, c’est quitte ou double. Soit c’est génial (Kick-Ass), soit c’est risible (Bangkok dangerous). Là, c’est la version 2. Imaginez un remake américain du
de Hideo Nakata, 2010, * Dans un « chat » genre IRC, cinq jeunes perturbés bavardent de choses et d’autres, de leurs connards de parents ou de leurs pétasses d’amies. Mais