de Jack Orman, 2011, ** En 1963, le voyage long-courrier était en plein essor : Pan American World Airways, premier client du Boeing 707, desservait quotidiennement des destinations aussi exotiques
de Peter Jackson, 2014, ** Vous vous souvenez des mes billets sur le premier, puis le deuxième ? Ben pour le troisième, c’est pareil, sauf qu’il restait encore moins de
de Francis Lawrence, 2014, ** Le premier Hunger games était une version moderne des jeux du cirque, le fils naturel de Battle royale et de Ultimate game. L’embrasement, pour
de David Ayer, 2014, ** L’homme, ce prédateur. Voilà le sujet de Fury, film dont on vous dira qu’il raconte l’histoire d’un groupe d’opérateurs de char Sherman en avril 1945,
de John Avildsen, 1990, ** Le cinquième et longtemps dernier volume des aventures de Rocky Balboa a une grande qualité : le casting. D’abord, Rocky Jr n’est plus joué par
de Sylvester Stallone, 1979, ** Rocky, c’était le rêve américain version pas trop naïve quand même (on va pas jusqu’à voir un clodo détrôner le roi). Le deuxième volume,
de Willard Huyck, 1986, ** Et si Donald existait dans la vraie vie ? Ben si vraiment c’était le cas, il serait comme tout le monde : vaguement poivrot, cynique, désabusé,
de Matt Reeves, 2014, ** C’est l’histoire bourrée d’originalité de deux groupes. Dans l’un, il y a un père de famille aimant et attentionné, qui est aussi un chef
de Dean DeBlois, 2014, ** Dragons n’avait pas un fond très original, mais il était rempli de petits détails touchants ou loufoques et il profitait d’une réalisation sans faille
de Mizuho Nishikubo, 2013, ** Esthétiquement, difficile de trouver quelque chose à reprocher à L’île de Giovanni : l’animation est soignée et les graphismes sont splendides, dignes des meilleures références.