de Clint Eastwood, 2011, ** Après une hagiographie de Mandela, Eastwood montre qu’il n’a pas peur du grand écart : il s’attaque cette fois au portrait d’un des plus gros
de Guy Ritchie, 2011, *** Tiens, j’allais faire une grosse diatribe, et puis je me rends compte que ma critique du premier reste totalement valable. Du coup, premièrement, je
de David Schwimmer, 2010, *** On a toujours tort de faire confiance à quelqu’un. C’est ce qu’apprend Annie, adolescente, qui a eu la mauvaise idée de croire le garçon
de David Fincher, 2011, **** Un journaliste manipulé par une source et condamné pour diffamation. Une enquêtrice privée déclarée malade mentale et placée sous tutelle. Un capitaine d’industrie vieillissant
de Gorō Miyazaki, 2011, *** En 1963, deux lycéens se rapprochent en rédigeant le journal du club des élèves, notamment en défendant le local de celui-ci, une vieille bâtisse
d’Alexander Payne, 2011, **** Bon, vu du niveau des résumé et bande-annonce, ça a l’air plein de guimauve et rempli à ras bord de bons sentiments, et on craint
Traditionnellement, mon premier (et parfois unique) bilan de l’année concerne le cinéma. Il n’y a pas de raison que 2012 commence par une exception : voici donc ce qui
de David Benioff et Daniel Weiss, depuis 2011, **** Être un grand soldat fait-il de vous un grand roi ? On peut en douter, quand on voit l’état de délabrement
de David Cronenberg, 2011, **** C’est l’interdit majeur de la psychanalyse : céder au transfert, mécanisme par lequel un patient reporte sur son analyste ses pulsions primaires. Sigmund Freud l’a
de Craig Silverstein et Kelly Marcel, depuis 2011, *** Quitter définitivement un monde moribond pour une terre vierge, ça vous tente ? C’est ce qui est proposé à quelques centaines