de Matthew Porterfield, 2013, **** Sur le papier, c’est rien : quelques jours de la vie d’une adolescente irlandaise, qui débarque chez des cousins américains en pleine séparation. À l’écran,
de Martin Scorsese, 2013, **** La drogue, c’est mal. D’abord, c’est cool, on est content d’en avoir, et puis on en veut toujours plus, on sait plus en sortir
de Joseph Gordon-Levitt, 2013, *** Vous vous souvenez peut-être de (500) jours ensemble, le truc qui ressemblait énormément à une comédie romantique mais qui avait toute la cruauté de
de Shinjo Aramaki, 2013, ** Sur le plan de la réalisation, rien à redire : c’est impeccable, tant côté rythme que côté graphique. Sur le plan du scénario, en revanche,
Il y a deux mois, l’Union générale cinématographique ouvrait un nouveau complexe, baptisé UGC Ciné cité Paris 19. Bonne nouvelle, me dis-je : d’une part, c’est à un quart
de Peter Jackson, 2013, *** La suite du précédent, toujours un peu long par moments (toujours ce truc de trois films à partir d’un roman de 500 pages), toujours
de Bill Condon, 2013, *** Après Facebook, c’est au tour de Wikileaks de faire l’objet d’un film. Et après Zuckerberg, c’est au tour d’Assange de passer pour un génie
de Stanley Kubrick, 1980, ** Avec un peu de retard, j’ai enfin vu Shining, qui manquait à ma culture kubrickienne (restent encore les trucs des années 50 et Barry
de Francis Lawrence, 2013, *** Voici donc la très attendue suite de Hunger games. Attendue par les fans des bouquins, évidemment, et par les fans de Francis Lawrence —
de Gavin Hood, 2013, *** « Tiens, si on prenait un zeste de Star trek, une dose de WarGames, un trait de Starship troopers et un filet de Star wars, ça