Étiquette : famille

film sans boules de Jon Favreau, 2019 Le lion. Symbole de puis­sance, de viri­li­té, tout ça. Le lion, qui pisse par­tout pour mar­quer son ter­ri­toire, et dont on

de James Gray, 2019, * On parle beau­coup, dans ce film, de la Terre, de Mars, de Jupiter, de Saturne et de Neptune. Vous notez un truc qui manque ? Oui.

pon­cifs auto­sa­tis­faits de Michael Dougherty, 2019 Il y a quelques années, dans un bar, j’ai croi­sé (par le biais d’un cama­rade de bureau) une paire d’États-Uniennes ori­gi­naires, si

de Steve Blackman et Jeremy Slater, 2019, **** Ils sont sept. Sept enfants sans aucun rap­port, sinon d’être nés au même ins­tant aux quatre coins de la pla­nète et

de Clint Eastwood, 2018, *** Un mau­vais Clint Eastwood, c’est déjà un bon film. C’est un peu le bilan de son petit der­nier, La mule, l’his­toire d’un vieil hor­ti­cul­teur

de Steven Caple Jr., 2018, ** Vous vous sou­ve­nez de Creed ? Creed, c’é­tait le pre­mier Rocky offi­ciel­le­ment cen­tré sur un autre per­son­nage (certes, au début du cin­quième opus, il pas­sait

de Hirokazu Koreeda, 2018, **** C’est une famille pauvre, qui habite une petite mai­son tra­di­tion­nelle en ban­lieue, au milieu des immeubles d’ap­par­te­ments. S’y entassent une grand-mère, un couple, une

de Gilles de Maistre, 2018, * C’est qua­si­ment un genre à part entière : le « sau­vez-Willy ». On évi­te­ra de le confondre avec le film de sau­ve­tage comme Les nau­fra­gés du

de Mamoru Hosoda, 2018, **** Quatre ans, c’est le mau­vais âge pour avoir une petite sœur : on se sou­vient bien de l’é­poque où on mono­po­li­sait l’a­mour de ses parents,

de Frédéric Tellier, 2017, **** Je crois que je me suis tou­jours vague­ment inté­res­sé aux pom­piers. Pas comme mon ancienne col­lègue qui, pas­sant devant une caserne sur le che­min