d’Andrew Nicol, 1997, * C’est un film froid, lisse. Ce qui aurait pu être une qualité, mais non ; ça ne sert même pas une ambiance particulière. La narration est
de Curtis Hanson, 2000, **** Quand on lit les critiques, on ne sait que penser : est-ce un chef-d’oeuvre ou un film interminable où il ne se passe rien ? En fait,
de Costa-Gavras (au fait, il a pas de prénom, lui ?), 2004, **** Attention, Costa-Gavras est de retour en grande forme ! Photo impeccable, soignée, réalisation sans temps morts… Revoilà le
de Martin Scorsese, 2004, **** Et voilà. Je sors de The Aviator. Enfin, mon corps en sort. Ma tête, elle, y reste bloquée. Suis-je un spectateur lambda ? Sans doute pas. Je
de Neil Jordan, 1996, * On est un peu étonné, devant ce film. Tout d’abord, on a l’impression que Michael Collins est l’homme qui, à lui seul, a obtenu
de Win Wenders, 2003, *** Quelques doutes au départ : d’abord à cause de Michelle Williams, déjà vue… dans Dawson ! (sans commentaire…), ensuite à cause d’un schéma a priori trop
chef-d’œuvre de Sam Mendès, 1999 Le film n’a commencé que depuis deux minutes et, déjà, le ton est donné : lucide, cynique et désespérant. C’est, en fait, l’histoire d’un
de Ridley Scott, 1992, * Ridley Scott, Gérard Depardieu, Sigourney Weaver… Excusez du peu ! Et tout ça pour ça ? On nous annonce un film historique. Mais non. Pour quiconque s’intéresse