de Rob Marshall, 2011, *** Des fois, on va voir un bon gros blockbuster en se disant qu’à défaut de passionner, ça permettra de penser à autre chose. Dans
de plein de gens, 1982, *** Quand j’avais huit ans, je me contentais pas de lire Jules Verne. Je regardais aussi la télé, enfin, le mercredi après-midi, quand je squattais
de Justin Lin, 2011, *** Mais dis-moi, Loulou, t’as encore grossi ? Ah non, c’est du muscle ? Renaud, Loulou J’avais vu Fast & furious, il y a longtemps. Puis, 2 fast
de Céline Sciamma, 2011, *** Alors, je connaissais le film anglophone dont on garde le titre par fainéantise. Je connaissais le film japonais auquel on donne un titre anglais
de George Nolfi, 2011, *** La recette est simple : un peu d’action, un peu de romance, un peu de mystère, un peu d’espionnage, un peu de pseudo-métaphysique. Prenez un
de Roland Emmerich, 1994, *** Un égyptologue croisé boulet, Daniel, est envoyé à travers un trou de ver sur une exo-planète, avec une équipe de gros bras bas de
de Julien Leclercq, 2010, *** Bon, l’histoire, on la connaît à peu près tous. En tout cas, c’est un des souvenirs marquants de ma jeunesse, bien plus que l’attentat
de Greg Mottola, 2010, *** Deux gros nerds anglais, voyageant sur les traces de la SF de Las Vegas à Roswell, tombent sur un extra-terrestre qui rote, parle un
de Yann Samuell, 2002, *** On a sans doute tous au moins une histoire qui a foiré parce qu’on s’est laissé enfermer dans un jeu — personnages, défis idiots,
de Peter Weir, 2010, *** Vous le savez, juger le boulot des traducteurs, c’est un de mes hobbies. Les titres originaux ? The way back pour le film, The long walk