de Tetsurō Araki, Takeshi Obata et Tsugumi Ōba, 2006–2007, * Pour tuer quelqu’un, les dieux de la mort notent son nom dans un carnet. De temps en temps,
de Yoshio Takeuchi et Kenji Kodama d’après Tsukasa Hōjō, 1983–1986, *** Les madeleines ne se dévorent pas toujours dans l’ordre. Alors que j’ai revu tous les Nicky Larson
de Noriko Ozaki et Seiji Kishi d’après Yūsei Matsui, 2015–2016, **** Nous sommes une classe d’assassins. Notre cible : le professeur. Les élèves de 3e E du collège de
de Roland Emmerich, 2019, * Le saviez-vous ? Les avions américains, en 42, c’était de la merde. Enfin, ceux de la marine, je veux dire. Les Mitchell de la force
de Hirokazu Koreeda, 2018, **** C’est une famille pauvre, qui habite une petite maison traditionnelle en banlieue, au milieu des immeubles d’appartements. S’y entassent une grand-mère, un couple, une
de Mamoru Hosoda, 2018, **** Quatre ans, c’est le mauvais âge pour avoir une petite sœur : on se souvient bien de l’époque où on monopolisait l’amour de ses parents,
de Naoko Yamada, 2018, **** 苛め. Ça se prononce « ijime » et c’est un véritable facteur de cohésion sociale : vous prenez quelqu’un et vous en faites le souffre-douleur du groupe.
de Hiromasa Yonebayashi, 2017, **** Vous connaissez Yonebayashi. Vous savez, quand les studios Ghibli cherchaient un héritier à Hayao Miyazaki / remplaçant au regretté Yoshifumi Kondō, ils ont testé
d’Akiyuki Shinbō et Nobuyuki Takeuchi, 2017, ** « Et si j’avais gagné cette course ? » C’est la question que Norimichi pose au destin après que Nazuna lui avoue que, deux secondes
de Hiroyuki Morita, 2002, *** Chez Ghibli, le tournant du siècle est une période de doutes. Hayao Miyazaki, dieu vivant du studio, a préparé soigneusement sa succession, laissant Yoshifumi