de Jean-Pierre Jeunet, ****/O Bon, ça fait quatre fois que je vois ce film, et j’arrive toujours pas à me défaire de cette impression bizarre : je l’adore autant
de Michael Wadleigh, 1970 révisé 1994, **** Vous me direz, trois heures quarante-cinq, est-ce que ça serait pas un poil long ? Ben non, pas vraiment… 1969, en plein milieu de la
de James McTeigue, 2005, **** Trois jours après, le choc passé… Il est temps. C’est la première fois depuis Spider-man que je vois l’adaptation sans connaître un minimum la BD
de Curtis Hanson, 2000, **** Quand on lit les critiques, on ne sait que penser : est-ce un chef-d’oeuvre ou un film interminable où il ne se passe rien ? En fait,
de Costa-Gavras (au fait, il a pas de prénom, lui ?), 2004, **** Attention, Costa-Gavras est de retour en grande forme ! Photo impeccable, soignée, réalisation sans temps morts… Revoilà le
de Martin Scorsese, 2004, **** Et voilà. Je sors de The Aviator. Enfin, mon corps en sort. Ma tête, elle, y reste bloquée. Suis-je un spectateur lambda ? Sans doute pas. Je
chef-d’œuvre de Sam Mendès, 1999 Le film n’a commencé que depuis deux minutes et, déjà, le ton est donné : lucide, cynique et désespérant. C’est, en fait, l’histoire d’un