Resident Evil : chapitre final

de Paul W.S. Anderson, 2016, ***

Boucler la boucle : voi­là le sujet de ce sixième opus ciné­ma­to­gra­phique des Resident evil. On revient à la mono­sco­pie, on revient au labo d’où tout a com­men­cé, et on revi­site les scènes emblé­ma­tiques du premier.

Non, c’est pas Underworld. — pho­to Metropolitan Film Export

Ça tourne bien, c’est spec­ta­cu­laire, le scé­na­rio est un peu brouillon mais la réa­li­sa­tion com­pense, les acteurs font leur taf avec toute la sub­ti­li­té de leurs per­son­nages. Bref, rien à signa­ler, c’est aus­si entraî­nant et aus­si sans queue ni tête que les cinq pré­cé­dents, et tout au plus note­ra-t-on une cer­taine ins­pi­ra­tion Mad Max sur les scènes avec les blin­dés. En un mot : efficace.