Cosmopolis

tas de merde de David Cronenberg, 2012

Woh putain de Dieu !

Oh, par­don, c’est peut-être pas très explicite.

Alors, disons que Cosmopolis parle. Beaucoup et long­temps. Que la pho­to est soi­gnée. Que les plans larges sont rares et les grands espaces absents, le film se dérou­lant qua­si­ment dans une limou­sine new-yor­kaise. Que ça s’in­té­resse à des gens modernes, édu­qués et intel­li­gents, et que c’est plu­tôt bien joué.

Bref, c’est exac­te­ment le contraire du Guerrier silen­cieux.

Et pour­tant, ça fait exac­te­ment le même effet : c’est inter­mi­nable et épou­van­ta­ble­ment chiant, et ça pour­rait don­ner envie de se flin­guer si on n’é­tait pas mort d’en­nui avant.