Cellule 211

de Daniel Monzón, 2008, ***

La veille de son pre­mier jour, un futur gar­dien de pri­son venu faire connais­sance se retrouve coin­cé en pleine muti­ne­rie. Seule solu­tion : se faire pas­ser pour un taulard…

Un thril­ler car­cé­ral assez clas­sique, plu­tôt bien joué et réa­li­sé, dont le scé­na­rio est bien construit mais part d’un peu trop de coïn­ci­dences et de cli­chés pour être tota­le­ment cré­dible, et qui a l’a­van­tage de renou­ve­ler un peu l’o­bli­ga­toire retour­ne­ment final du genre. Tout à fait comes­tible, agréable à la dégus­ta­tion, mais un peu court en bouche.