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<\/a>\r\n <\/div>\r\n Parfois, c’est pas qu’on viole l’Histoire, c’est qu’on l’envoie faire des passes dans un bordel de campagne. Mais les enfants sont d’autant plus beaux.<\/p>\n
<\/a>\r\n <\/div>\r\n de Jesse Armstrong, 2018-2023, **** puis moins Logan Roy a cinq trous du cul. Le premier, la nature le lui a donn\u00e9, comme \u00e0 tous les mammif\u00e8res. Les quatre autres, il les a faits lui-m\u00eame, avec ses deux femmes. Il a donc, dans l’ordre : Connor, un d\u00e9bile fin de race qui claque la thune familiale en vivant comme un dandy dans son ranch avec sa ma\u00eetresse qui aurait l’\u00e2ge d’\u00eatre sa fille et qui se r\u00eave en g\u00e9nie de la politique ; Kendall, crevure cynique coca\u00efnomane qui veut faire de la thune et \u00eatre Papa \u00e0 la place de Papa ; Roman, […]<\/p>\n
<\/a>\r\n <\/div>\r\n Il aura donc fallu attendre quarante-trois ans pour que quelqu’un adapte le roman de Bachman, qui semblait pourtant n\u00e9 pour devenir un film. Hein ? Quoi ? C’est quoi \u00e7a, un \u00ab\u00a0Glaser de Souza\u00a0\u00bb ?<\/p>\n
<\/a>\r\n <\/div>\r\n Enfin, on s’int\u00e9resse aux vrais h\u00e9ros de la s\u00e9rie Predator. Avec de quoi r\u00e9galer tous les geeks \u00e0 tendance linguiste de la salle.<\/p>\n
<\/a>\r\n <\/div>\r\n d’Alexandre Astier, 2025, **** Et ben voil\u00e0, on n’a pas eu besoin de poireauter 14 ans pour avoir la suite. Comme son nom l’indique,\u00a0Kaamelott : deuxi\u00e8me volet, partie 1 s’inscrit dans la continuit\u00e9 du premier volet. Selon la mode du moment, il est divis\u00e9 en deux morceaux, et on sait d\u00e9j\u00e0 qu’on aura \u00e0 peine plus d’un an \u00e0 attendre pour la seconde partie du deuxi\u00e8me volet. Donc, voil\u00e0. Tout s’est effondr\u00e9, Arthur et Gueni\u00e8vre squattent chez les parents d’icelle, Arthur d\u00e9prime comme d’habitude, se l\u00e8ve au mieux vers midi en grognant, s’engueule avec ses beaux-parents en se remplissant la panse […]<\/p>\n
<\/a>\r\n <\/div>\r\n de Kristen Stewart, 2025, * Des flashs-back, des images int\u00e9rieures, des pens\u00e9es qui surgissent en pleine action, un montage qui saute ainsi d’id\u00e9e en id\u00e9e au milieu d’une s\u00e9quence. Au d\u00e9but, \u00e7a ressemble \u00e0 un dispositif d’exposition pour montrer le personnage, ses f\u00ealures et ses facettes, et faire ressentir son \u00e9touffement au spectateur. Mais au bout de 2 h 08, on est oblig\u00e9 de se l’avouer : quand tout un film est fait comme une s\u00e9quence d’exposition fractur\u00e9e, \u00e7a ne fonctionne pas. C’est dommage, parce que les actrices (et les acteurs, mais on s’en fout des personnages secondaires) font un excellent […]<\/p>\n
<\/a>\r\n <\/div>\r\n de Darren Aronofsky, 2014, * Souvenez-vous, c’\u00e9tait il y a relativement longtemps : deux fr\u00e8res, Ca\u00efn le cultivateur et Abel le berger, offrent \u00e0 Dieu les fruits de leur labeur. Dieu \u00e9tant un connard, il pr\u00e9f\u00e8re ouvertement le cadet, provoquant ainsi la jalousie de l’a\u00een\u00e9, qui finit par buter son fr\u00e8re \u2014 faute de pouvoir buter Dieu, ce qui aurait \u00e9t\u00e9 justice, vu que dans un repas \u00e9quilibr\u00e9 les patates et les carottes sont largement aussi importantes que les c\u00f4tes d’agneau. Na\u00eet alors le troisi\u00e8me fr\u00e8re, Seth, irr\u00e9prochablement vertueux et qui transmettra cette vertu \u00e0 ses fils : ceux-ci vivent en harmonie […]<\/p>\n
<\/a>\r\n <\/div>\r\n de Jonathan M. Shiff, 1994-1997, *** \u00e0 * Parfois, l’actu vous fait repenser \u00e0 une vieille s\u00e9rie oubli\u00e9e de votre adolescence. Par exemple, on vous parle de la sant\u00e9 d\u00e9clinante des oc\u00e9ans, et \u00e7a vous rappelle cette histoire de jeune fille qui vivait seule sur une \u00eele et collaborait avec les gosses de la station sous-marine d’\u00e0 c\u00f4t\u00e9 pour lutter contre la pollution, ou un truc du genre. Alors vous cherchez un peu et par curiosit\u00e9, vous finissez par revoir toute la s\u00e9rie. \u00c7a s’appelait donc\u00a0Oc\u00e9ane. C’est arriv\u00e9 en France en 1995, dans la foul\u00e9e d’une vague de s\u00e9ries plus […]<\/p>\n
<\/a>\r\n <\/div>\r\n de Darren Aronofsky, 2025, **** Bud vit tranquillement dans le Lower East Side, chez Russ. Mais celui-ci repart en Angleterre pour voir son p\u00e8re malade, et Bud emm\u00e9nage temporairement chez son voisin de palier, Hank \u2014 un ancien joueur de base-ball californien, fan des Giants, barman et alcoolique. Dans la foul\u00e9e, deux mafieux slaves venus chercher Russ tabassent Hank, heureusement sans trouver la clef : celle-ci est planqu\u00e9e dans la liti\u00e8re de Bud. Quoi, je vous avais pas dit que Bud \u00e9tait un chat ? Ben c’est fait. Donc, Bud est un chat, mais il est bien plus qu’un personnage secondaire. Non […]<\/p>\n
<\/a>\r\n <\/div>\r\n de Joseph Kosinski, 2025, *** Les critiques sont parfois d\u00e9biles. Prenons l’exemple de F1\u00ae le film (oui, c’est \u00e9crit comme \u00e7a sur l’affiche, avec le logo \u00ab\u00a0registered\u00a0\u00bb pour pas avoir d’emmerdes avec le Formula One Group et bien rappeler que rien de ce qui est fait en lien avec cet univers n’existe sans leur accord). Joseph Kosinski, qui s’est fait conna\u00eetre pour des films d’action plus ou moins d\u00e9riv\u00e9s d’autres \u0153uvres, a pondu en 2022 Top Gun: Maverick, suite d’un film de Tony Scott. Et voil\u00e0 que cette ann\u00e9e, il fait un film avec des voitures. Il n’en fallait pas […]<\/p>\n
<\/a>\r\n <\/div>\r\n de Jeff Rake, 2018-2023, *** -1 par an C’est l’histoire d’un Boeing 737-200. Ou -400, on sait pas bien, y’a quelques plans o\u00f9 on voit bien le ventre plat des CFM56-3 con\u00e7us sp\u00e9cialement pour cette version, mais sur la plupart des s\u00e9quences ce sont bien les chalumeaux d’un -200 et quand Schtroumpf Papa a un plan de l’avion dans son garage, c’est marqu\u00e9 -200. Bref. Nous sommes en 2013, et ce 737 dispara\u00eet dans une temp\u00eate entre la Jama\u00efque et New York. Jusque l\u00e0, rien d’anormal. Sauf qu’il r\u00e9appara\u00eet et se pose en 2018, avec ses quelque 190 occupants, pour […]<\/p>\n
<\/a>\r\n <\/div>\r\n \u00c7a pourrait presque faire un marronnier, tellement \u00e7a revient r\u00e9guli\u00e8rement. Mettez un acteur ou une actrice de couleur dans un film m\u00e9di\u00e9val, et vous pouvez \u00eatre certain qu’une horde de petits nationalistes et de fous du Puy viendront pleurer que c’est trahir la v\u00e9rit\u00e9 historique, que \u00e7a donne une image fausse du pass\u00e9, que c’est r\u00e9\u00e9crire l’Histoire, ou autres fadaises du genre. Des historiens mieux plac\u00e9s que moi le r\u00e9p\u00e8tent pourtant au moins depuis\u00a0Robin des Bois, prince des voleurs : oui, Allah aime la diversit\u00e9 il y avait des Noirs et des Maghr\u00e9bins en Europe occidentale au Moyen-\u00c2ge. Ils n’\u00e9taient pas […]<\/p>\n