Albator, corsaire de l’espace

de Shinjo Aramaki, 2013, **

Sur le plan de la réa­li­sa­tion, rien à redire : c’est impec­cable, tant côté rythme que côté gra­phique. Sur le plan du scé­na­rio, en revanche, ça oscille entre très bon et très naïf, cer­tains pas­sages étant emprunts de vraie émo­tion et d’autres cou­sus de fil blanc. Et le héros seul face à la poli­tique cor­rom­pue, c’est pas for­cé­ment super original.

Dans l’en­semble, quelque part, « ça a vieilli » — oui, je sais, c’est tout neuf et ça n’a à peu près rien à voir avec la série Albator, mais la nar­ra­tion se rap­proche d’une cer­taine manière de ce qu’on fai­sait y’a un moment.